KARIHILA Mbarik
Etablissement : lycée E. Branly
Classe : 1S1
Thème : matière et forme
Matières concernées : SVT et physique-chimie
Pour ce travail, je me suis mise avec Alexia et Mirabelle. Je ne savais pas du tout avec qui me mettre au début, parce que je ne connaissais pas grand monde dans la classe. Mais, Alexia est arrivée une semaine après la rentrée, et comme nous nous connaissions déjà et étions déjà assez proches, se mettre ensemble s’est fait naturellement. Nous avions ensuite demandé à Mirabelle de se mettre avec nous, puisqu’elle ne savait pas avec qui être non plus et elle a accepté tout de suite. Mirabelle était aussi assez proche d’Alexia, mais je m’entends bien avec elle. Notre groupe est donc constitué de trois filles qui sont amies.
Nous avons mis un peu de temps à choisir notre sujet. Nous n’étions pas d’accord entre divers sujets : la lave des volcans, les cétacés, les pesticides, l’ophtalmologie. Nous avons fini par faire un tirage au sort pour nous départager et avons tiré « les pesticides » . Ce sujet a fini par mettre tout le monde d’accord car il est d’actualité, et en plus les pesticides sont présents dans notre vie quotidienne. J’ai travaillé dessus en cours de géographie l’année passée et c’est un sujet qui m’intéressait et m’intéresse encore aujourd’hui. La problématique a mis beaucoup moins de temps à surgir, nous l’avons choisi rapidement et c’était unanime: l’emploi des pesticides est-il indispensable en vue d’une forte productivité malgré les dangers qu’ils impliquent?
Nous avons commencé par faire de nombreuses recherches internet et bibliographiques sur ce qu’est un pesticide, les dangers qu’il peut entraîner sur l’Homme, l’environnement et la faune. Au bout d’un mois de travail, nous avons mis nos recherches en commun et commencé à mettre en place un plan. Ce plan a été changé mainte et mainte fois car il ne satisfaisait pas les professeurs. Mais nous avons fini par trouver un plan qui satisfaisait et les professeurs et nous. Nous avons mis en place une expérience où nous comparons l’agriculture biologique et l’agriculture intensive. Cette expérience n’a pas aboutit car nous avons mis trop de pesticides sur les graines qui ont brûlé. Du coup, les résultats ne sont pas très convaincants en vue de ce que nous voulions obtenir. Mais, nous avons refait nos plantations en janvier, en tâchant cette fois de ne pas brûler les graines. Nous avons décidé de choisir de faire un site internet pour notre production. Pour cela, le père de Mirabelle, étant informaticien, nous a aidé à créer le site, puis nous avons fait la mise en page et les publications nous même.
Pour écrire le plan, nous nous sommes réparties les tâches : Alexia s’est occupée de la partie sur les dangers de nos chers produits, Mirabelle a travaillé sur les solutions en vue d’une agriculture sans pesticides et j’ai pris en charge la nature du pesticide, c’est-à-dire, sa composition chimique et son mode de fonctionnement. Cette répartition s’est très bien passée car chaque partie plaisait à la personne qui l’avait.
Ce projet a été très bénéfique pour moi. Grâce aux TPE, j’ai su travailler en équipe, ce qui n’est pas évident pour moi, qui suis de nature timide. Cela m’a également aidée pour l’oral, car j’ai tendance à stresser quand je parle seule à l’oral et surtout pour des oraux importants. Les TPE m’ont donc aidée à gérer ce stress et j’arrive presque à ne plus paniquer à l’oral aujourd’hui. Le sujet en lui même, a été très intéressant. Je pense d’ailleurs qu’après ce travail, je me mettrais bien au bio. Nos chers pesticides sont certes un moyen d’optimiser les rendements mais ils mettent également les générations futures en danger, et nous pouvons à notre échelle changer cela en mangeant bio justement.
Pour finir, je suis plutôt fière de notre travail final. Avec Mirabelle et Alexia, nous n’avons pas forcément été sur la même longueur d’onde tout le long mais nous avons été patientes et avons réussi à sortir un projet qui nous satisfait toutes et qui j’espère, intéressera d’autres personnes.